Publié le 31 mars 2015 par .

Comme je l’annonçais dernièrement sur Twitter, j’ai profité d’un petit déjeuner pour tester quelques produits de la nouvelle gamme “Histoires d’ici” gracieusement offerts par Botanic.

Petit Déjeuner avec les produits Histoire D'Ici
Petit Déjeuner avec les produits Histoire D’Ici

Au menu ce matin là, du jus de pommes de Savoie, de la confiture de myrtilles des Vosges (ah la Lorraine), et du pain d’épeautre à cuire soi-même.
La région (française) d’origine de chaque produit est systématiquement indiquée, la promesse annoncée est de mettre en avant des recettes locales, un peu comme si c’était votre grand-mère qui avait utilisé sa vieille casserole en cuivre.

Commençons par une analyse des ingrédients pour le jus, uniquement des pommes et pour la confiture des myrtilles et du sucre le tout labellisé Bio (toute la gamme est Bio). “Normal” me direz-vous? Et bien allez faire un tour dans votre grande surface préférée pour regarder ce qu’il y a dans les confitures du commerce, je vous répondrais plutôt “rassurant” !

Et le goût?

Pour le jus de pommes j’avais l’impression de boire celui que j’achète localement à “la ruche qui dit oui”, donc autant vous dire qu’on est en présence d’un vrai jus de pomme, pas un nectar coupé à l’eau.

Je suis un peu plus mitigé sur le pain, étant un grand consommateur de pain frais, la texture et le parfum étaient un peu en retrait et il avait tendance à se casser. Il faut savoir que 2 modes de cuisson sont possibles: entier au four ou tranché au grille-pain. Par souci de temps, j’ai opté pour la deuxième. Il faut toutefois préciser que l’on parle de pain précuit (qui ne joue donc pas dans la même catégorie que le pain frais), qui reste une très bonne solution en cas de pénurie dans votre boulangerie, ou si vous n’avez pas envie de sortir de chez vous le dimanche matin.

Pain d'épeautre
Pain d’épeautre, prêt à cuire

Je vais finir par mon coup de cœur absolu, la confiture de myrtilles! Le pot n’a pas survécu plus d’une semaine. J’ai l’habitude de faire mes propres confitures (mirabelles, mûres, …) et là, j’ai retrouvé le goût d’une confiture maison, des vrais morceaux de fruits juste compotés, pas trop de sucre, un régale. J’ai commencé mon sevrage avec un pot de confiture d’abricots (du Roussillon) de même gamme, constat identique sur le parfum et l’équilibre, mais ma préférence reste à la myrtille (peut-être du chauvinisme régional).

Confiture de myrtille
La myrtille : ma drogue
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